Il ne suffit pas de parler deux langues couramment pour être un bon traducteur.
« Dans une traduction, il faut aller jusqu’à l’intraduisible. C’est alors seulement qu’on s’aperçoit combien une langue nous est étrangère, ainsi que la nation qui la parle. »
Johann Wolfgang von Goethe
Ce qui était vrai à l’époque, l’est encore aujourd’hui. Bien que la plupart des frontières aient aujourd’hui disparu en Europe, les barrières de langues, elles sont restées. Pour une bonne communication interculturelle, il faut donc à la fois tenir compte du texte à traduire, de la façon de penser et de s’exprimer du pays cible et du public visé.
J’attache beaucoup d’importance à fournir une qualité élevée avec un usage linguistique respectant les spécificités culturelles. Pour cela, il faut connaître les « ponts » linguistiques permettant de rendre intégralement l’essence du caractère du message.
Traduction et adaptation
Le contenu d’un texte peut être correct tout en n’étant pas satisfaisant en définitive. C’est le cas par exemple, s’il ne se laisse pas lire avec aisance ou si les tournures utilisées ne sont pas usuelles. Une personne dont c’est la langue maternelle remarquera alors sur-le-champ que le texte n’a pas été suffisamment adapté à la langue visée.
Il faut différencier entre une traduction visant « à comprendre » et une traduction répondant à une stratégie de communication spécifique. Dans ce cas, une adaptation du texte est souvent inévitable. Le défi consiste à modifier le texte tout en continuant à retransmettre avec exactitude ce que l’auteur veut exprimer.
Le style choisi dépend de la nature du texte à traduire. L’approche linguistique pour un contrat par exemple est très différente de celle à adopter pour un communiqué de presse. Il importe donc de comprendre parfaitement le texte et ses objectifs pour trouver les mots et les tournures appropriées.
Pour obtenir les meilleurs résultats avec votre site internet, vos brochures et vos communiqués de presse, il ne suffit pas simplement de les traduire. Afin de maximiser leur impact, ils doivent être adaptés aux spécificités culturelles du pays. Il s’agit d’être sensible aux nuances linguistiques et de savoir lire « entre les lignes », ce qui suppose une très bonne connaissance de l’environnement culturel.
Correction de texte: Vérification de l’orthographe, de la grammaire et de la syntaxe.
Relecture: Elle comprend en plus de la correction de texte, l’amélioration du style, de la fluidité et de la clarté.